Journal de bord des Chevaliers de Uther

Mes chers compagnons, aujourd'hui m'est venu une idée qui dans les temps futurs sera une source du passé. Oui, ce matin dès les premières lueurs de l'aube, je me suis demandé comment répertorier nos actions, notres histoires. Et la réponse est venu toute seul d'elle même: UN JOURNAL DE BORD.

C'est pourquoi, je vous invite tous à y participer et à poser tout ce que vous avez vécu, car peut être dans les mois qui arrivent, par vos notes...par mes notes nous sauverons des compagnons...des hommes...des amis.
Matmarann.

[/hrp: pensez à bien mettre les dates (en faite, faite la même entête que moi), c'est plus marrant Wink

]

Journal de bord. Date du 09 Fevriol. Année 1:

Le temps était claire et dégagé, quand le griffon atterrit prés de Lakshire. Le brouhaha du village s'étendait au-delà du pont. Il me fallut que quelques minutes pour retrouver Messire Melkior. Ce dernier, envoyé par la populace et les responsables de la cité, parcourait les Carmines afin de rendre justice et de rétablir la sécurité dans les environs.

Dans un premier temps nous partîmes à deux, allant vers le nord. Ce fut assez rapidement que mon compagnon d'arme, Messire Selmane nous rejoignit.
Tous unis, nous finîmes par entrer dans le fort surplombant la vallée, ce dernier infesté d'orcs. La bataille fît rage !!!
De combats en combats, nous finîmes par arriver en haut du donjon pour atteindre notre but.

C'est ici, après avoir achevé le dernier orc que nous avons rencontré un preux chevalier, je me souviens plus de son nom, mais il servait un ordre de Templiers. Il semblait connaître Sire Amandil et le passé des chevaliers de Uther, donc c'est dans la plus grande courtoisie que nous nous arrêtâmes pour discuter un peu.

La nuit tombante, je du laisser Messire Selmane et Messire Elkior et prendre congé. C'est deux derniers ayant appris que Darkshire souffrait de l'invasion Hordeuse, se rendirent sur les lieux au plus vite...

Je n'ai pas de nouvelles d'eux depuis, j'espère que tout va pour le mieux.

Matmarann

Journal de bord. Date du 11 Fevriol. Année 1:

Les chevaliers de Uther vaguaient chacuns à leurs occupations, faisant tout pour defendre encore et encore le bien. Messire Matmarann et moi même setions promis d'accomplir la quëte que Sieur Elson nous avait donner, reconstituer le marteau saint. C'est ainsi que les nous nous doniames rendez vous en Stromwind la grande, afin de débuter notre voyage. La premiere étape fut Les Mortes Mines, ou il nous fallait récuperer du bois. Tres rapidement, et, apres avoir bravé quelques obstacles, nous l'optames. Nous decidames alors de purifier ce lieu a fond, et donc, d'aller occir le chef defias, Vancleef. Ce fut chose faite .

Les combats se révélés de plus en plus dur, mais nous meme, etions étions de plus en plus coriace. Les ennemis tombés devant nous alors que nous arrivions face a son navire ... Vancleef sentait surement sa fin ... .

Apres nous etre frayé un chemin sur le bateau, nous sommes arrivés devant la batisse du chef Defias. Sans meme mot dire, nous nous sommes jetés sur lui et ses quatres acolytes afin de leur donner lecon. Le combat fut rude, mais en vain, l'ennemi était tombé.

Notre tache fut accomplie, et en prime, nous avons ramener la tete de se charlatant aux villageois de La colline des sentinelles.

Nous prévoyons déjà de continuer notre quete sainte, la prochaine étape je pense est de parcourir Brassenoir.

Melkior.

Invité

Journal de bord, Date du 14 Fevriol, Année 1

La journée était bien calme dans la citadelle de Stormwind en cette fin d’après-midi … Alors que nous tenions un conseil exceptionnel au château … mon esprit me quitta, ce qui m'arriva fût au-delà de ma compréhension. J’ai eu tout d’un coup la vue d’un des miens, le chevalier Hulric, dans les profondeurs d’une crypte tapis dans le bois de la pénombre et encerclé par des ennemis … combattant de toutes ses forces pour faire revivre la Lumière dans ces profondeurs. Mais le combat était rude et petit à petit les morts prirent le dessus …

D’un visage pale et un regard profond, je me levais de ma chaise en criant :
« Aux armes mes frères !!! » saisissant mon épée et mon bouclier en sortant de la salle de conseil, je pris tout de suite la rue menant au maître griffon...Je devais arriver au plus vite au secours de Messire Hulric.
C'est en enjambant l'animal que j'aperçus le commandeur Opalyne se tenant là, fidèle, à mes cotés
Pendant ce temps, Sire Matmarann traversa la forêt d'Elwin du nord au sud pour rejoindre au plus vite le cimetière.

Ils nous fallut traverser à dos d'oiseaux "la marche de l’ouest" et de là... nous prîmes à pied vers l'ouest …
Essoufflé de cette longue route nous finîmes par retomber sur Sire Matmarann luttant déjà contre les morts …

Le "Cimetière de Raven Hill", lieu maudit parmi les lieux maudits...Noirceure parmi la noirceur...

C'est en cherchant l’entrée de la crypte, combats après combats, épées contre épées, porté par la lumière et par la foi, unis par un seul but commun: - "retrouver notre « frère »" - que nous progressions dans cette mélasse la plus complette...Même leur plus Fidèle serviteur ne survécût …

Progressant, pas après pas. Nous nous enfoncions dans les profondeurs de la crypte avec le sentiment d’être de plus en plus proche de Hulric … Quelques temps après...Il était là.

Allongé sur une table d’expériences au milieu d'une pièce des plus sombres…
A bout de forces et souffrant de mes nombreuses blessures, dans un ultime effort, la lumière à mes cotés … je ferma les yeux et d’un coup directe mon épée trancha les chaînes qui le retenaient …
Sire Matmarann et le commandeur Opalyne débattaient toujours pendant ce temps avec des goules que j’avais croisés quelques minutes auparavant …Hulric libéré, nous finîmes de nettoyer les lieux.

Ma vision était donc bien réelle … l’ancienne Ordre de paladins brûlait bien en nous … Notre union et notre foi dépassant les imaginations... …

Une fois à l'air libre, le combat était loin d'être finit, les morts s'étaient relevés… mais … A cette instant précis, rien n'aurait pu nous terrasser … Nous étions unie par une foi commune … les goules et les squelettes tombèrent un à un, aucun créature ne resta debout. …

Nous sommes sortis ensemble du cimetière et avons pris le chemin du retour… Ensemble nous somme entré dans Stomwind, par la Vallée des Rois … à pied...Portant un regard ferme vers l’avant … prenant la direction de Sire Melkior...Passant les portes du palais Royal...Afin de terminer notre conseil...Mais le coeur auréolé d'une foi indescriptible …

Pour la Lumière !!!

Invité

Journal de bord, Date du 14 Fevriol, Année 1

Une Journée noire, une journée triste au "Cimetière de Raven Hill"...

Par besoin, par envie de savoir, par désir de trouver des réponces aux multiples questions qui me toumentent je m'enfoncais dans cette Crypte.

J' avancais fermement désidé à aller au fond de ces ténèbres, Mon marteau écrasait ces hérétiques et tel un fléau lumineux je les envoiait valcer contre les murs et les plafonts de ces lieux.

A l'entré d'une nouvelle pièce , qui étrangement été vide je m' assie dans un coin pour reprendre des force.
Mais d'un coup!! une horde de mort-vivants surgient et de par leur sur nombre me fîent chaviré; je tombais alors dans un profont comat...

Les cries de bataille lancés par Seigneur Amandil me ramèrent a la raison, je me retrouvais enchainé à une table SIre Amandil acconagné de frère Matmarann et de soeur Opalyne... De sa lame lumineuse le Seigneur Amandil trancha les chaines qui me retenaient.

Nous primes ensuite la directions de la sortie .

Arriver à Stormwind je courru me reposer a la Cathédrale de la lumière.

Dur journée, mais grace à cet incident ma foi envers notre Ordre se trouve grandit.

Qu' Uther veille sur nous...

Invité

Journal de bord. Date du 18 Fevriol. Année 1:

C'est dans la belle cité de Stormwind que je croisais Messire Matmarann et Dame Asn. L'écho de certains fais dans les contrées du sud étaient venu jusqu'à nous. C'est pourquoi nous entreprîmes de nous mettre en route...

Une fois là bas, nous nous prîmes la direction du camp vers l'ouest … C'est là que nous vîmes ces créatures à la peau verte… Elles étaient là, vaquant à leurs activités, au beau milieu des nôtres … mais les ragots que nous avions entendu n'étaient pas fondés … Elles étaient là, pacifiques, à profiter du bon poisson qu'elles pouvaient pécher sur place … un chasseur orc en profita même pour nourrir son dévoué loup au bord de la dite rivière.
Devant cette situation, nous avons essayé de rentrer en contacte avec eux… mais hélas sans succès et le bruit qui sortaient de leur bouche n'était que pour nous le clique tic de certain de nos animaux familiers …

C'est ce qui arriva ensuite qui me choquât …

Des membres de l’alliance qui arrivaient se jetèrent sur eux, les assassinant ouvertement.
A plus d'une douzaine contre un, le combat et son issue fut vite en la défaveur de cette créature … l’honneur de l’alliance … cela restera en moi, comme une pierre bien trop lourde à porter …

Venu des bois, fulgurante fut la réponse. Arrivant de tout-part, les compagnons du cadavre gisant sur le sol, se jetèrent dans le combat … mais notre étonnement fut grand quand à leur sens de l'honneur … Ces bêtes dites sauvages, qui tuèrent un à un tous les coupables de se crime abjecte et épargnèrent la vie de ceux qui n'avaient rien fait … Sire Matmarann et moi fûrent les seul survivant de ce massacre gratuit... Ne ferions nous pas pareille si on s'en prenait aux être qui nous sont cher sans aucune raison ?

cela est la preuve de la preuve bestiale des nôtres et peut être bien la raison de la guerre …

… … *très pensif* … …

Après avoir vu de nos propres yeux cette violence … nous avons pris le chemin du retour … j’avais besoin de retrouver mes esprits pas la méditation … pour la première fois, une colère énorme s’emparât de moi … et je devais lui faire face … je devais la vaincre et la contrôler.
Je me suis réfugié prés de l’archevèque Benedictus pour trouver les réponses à mes questions … sa sagesse me rendît la paix …

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La soirée avançait et le souvenir d’un endroit que j'avais vu plutôt dans la journée avec Messire Matmarann, me revient à l'esprit … une tombe bien à l’ écart dans le cimetière de « Raven Hill » … une piètre croix, un nom … Morgan Ladimore.
Je me rendis alors dans le village de Darkshire pour trouver les réponses à ce mystère. Arriver sur place j’e pris contact avec l’archiviste du village, qui après avoir far-fouiné dans les interminables étagères de ses archives, me remit entre les mains un vieux parchemin … une note sur la vie d’un homme … son horrible destin …

Le Chevalier Morgan était un serviteur de Uther … mon étonnement … ma surprise … j’était en train de dévorer les lignes inscrites sur ce parchemin, les yeux humide … mon émotion était trop grande … nos ancêtre …

Sa vie était une tragédie … la Lumière avait quitter ce chevalier le jour de son retour de la guerre, le jour ou il apprit la mort de sa femme et sa fille dans ce que plus tard nous avons appeler « le fléau ». J’avais de larmes aux yeux … quand j’ai apprit que son esprit n’avait pas trouvé son repos depuis ce jour et que ma mission était d’aller vaincre cette malédiction … Le cœur lourd mais guidée par la Lumière je pris la route du cimetière … l’endroit était infesté des goules et squelettes … le cœur remplit d’émotion je me suis jeté dans la mêlée, implorant la Lumière … des rayons surgissent du ciel et le feux sacré consumât ces créatures … ma lame serré bien fort dans ma main je me fraya un chemin à travers eux … Au bout de me forces, les monstres à terre, je ma suis surpris à crier le nom de celui qui autre fois servait la même foi que la mienne …

« Morgan Ladimore !!!! par la Lumière revenez parmi nous !!!! ne vous laissez pas envahir par la haine !!!! vous êtes un chevalier de Uther !!! Morgan Ladimore !!!! »

C’est à cette instant que surgit sa dépouille prêt pour un combat fratricide …

Le duel semblât durer une éternité … J'étais a deux doigt de lâcher par la fatigue … et mon cœur m’empêchait de porter ce coup final à celui qui autre fois marchait au coté de notre cher Uther.
Le jugement dernier était mon seul espoir … alors implorant la Lumière, je mis fin a ce combat épique … genou à terre … Mon regard se perdit dans le ciel étoilé … les larmes coulant sur mon visage et mes force ne pouvant me relever … Mes yeux descendirent doucement sur le cadavre de Ladimore Morgan qui gisait là et un cantique aux lèvres, je me mis a prier pour son salue.

Quelques heures plutard, j’ai reprit la route du village pour annoncer la nouvelle … mais mon cauchemar n'était pas encore terminé … comme pour attrister encore plus ce récit … j’appris que la fille du chevalier était toujours en vie et elle servait les rangs de l’armée de Darkshire. Je mis à sa recherche pour témoigner de mon respect pour son père et lui donner mes condoléances …

Elle était soulager de savoir que son père pouvait finalement reposer en paix garce à mon intervention, alors elle me donna une bague en guise de sa gratitude que je s'empressa de déposer sur la tombe de feu Sire Morgan.

Je me mis en route vers sa dernière demeure et je déposa la bague sur le monticule de terre fraîche … C'est là que j'ai eu la vision … Le chevalier se tenait devant moi...la chaleur de la bague eut raison de sa folie … il me demanda alors de porter son épée pour défendre les pauvres … prendre sa place … je m’agenouilla devant lui … son épée étincelante dans mes mains …pendant que son esprit prenait son envol vers les cieux ….

Je suis reste un moment pour prier … l’Honneur qu’on venait de me faire était grand … porter l’épée de ce chevalier … dire qu’un jour cette épée a croisée celle de Uther ….. mon cœur battait fort, de plus en plus fort …

Je pris alors la route de Stormwind pour me rendre à la cathédrale et rendre un dernier hommage à ce chevalier

…

Pour la Lumière !!!

Journal de bord. Date du 21 Fevriol. Année 1:

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Nul ne sait au juste comment l'univers est né, comment notre monde à vu le jour... Certain pensent que l'univers, tel qu'il existe aujourd'hui, a été créé par un être tout-puissant. Il est certain qu'une race d'êtres puissants s'est dressée pour donner une forme aux différents mondes et pour assurer un avenir aux êtres qui suivraient leurs traces. Les colossaux Titans, dieux à peau métallique venus des confins du cosmos, commencèrent à façonner les mondes qu'ils rencontraient...

ULDAMAN, la grand cité perdu...
Qui n'a jamais rêver revenir au source du monde ... qui n'a jamais songer croiser les grands Titans fondateurs de notre monde ... Certain pensent que toutes ces histoires sont des légendes ... Nous, nous savons à présent qu'il n'en est rien ...

C'est la ou commence notre aventure d'hier soir, là dans l'ancienne cité perdu d'Uldaman. J'en croyais pas mes yeux, nous combattions, pour défendre nos vies un grand titan enfermé , depuis des millénaires dans l'une des chambres de la cité qui fut autres fois l'une des plus grandes merveilles de notre sphère.
Le combat était âpre, je jetais un coup d'oeil à mes compagnons...
Selmane était partagé entre frayeur et émerveillement.
Sire Alghur lui luttait pour nos vies.
Heureusement pour nous, dans les profondeurs de cette pièce, la lumière était à nos cotés et je sentis que rien ne pouvait nous arriver.

Mais comment étions nous arrivez là ??

C'est quelques heures auparavant dans la belle cité de Stormwind que le Maître d'Armes Alghur décida de prendre la route de cette cité, il connaissait les lieux, pour y avoir déjà posé les pieds, mais n'avait aucune idée de son importance, de sa grandeur.
Pour être franc notre venue dans cette endroit était surtout pour apprendre, pour nous entraîner ensemble *sourit*.
Mais vite, je sentis par les fresques qui ornaient les mures que nous étions dans un lieu plein d'histoires...plein de passés...

Je ne fis pas tout de suite le lien avec les Titans créateurs de notre univers ... Pourtant comment un léger détail, comme ces vaches minuscules par rapport aux humains dessinés à même la pierre a-t-il put m'échapper ??

De files-en-aiguilles nous avions finit par nous retrouver là, unis dans un seul but ... Survivre !!!

Le géant titubât, Sire Alghur donnât dans un cri ultime, le dernier coup...Le colosse s'écrasât dans une bruit lourd faisant trembler les murs quelques instants ...

Après avoir pris les artefacts qui jonchaient la salle, nous prîmes la décision de faire demi-tour ... Certes nous avions sûrement visité qu'une infime partie de la citée. Mais c'est le coeur plein de respect que nous prîmes la décision de revenir, accompagnés d'autres Chevaliers ...

Afin qu'ensemble nous parcourions l'histoire de notre création...

Matmarann.

Invité

Journal de bord. Date du 24 Fevriol. Année 1:

Cela faisait quelques jours que j'avais traversé les mers pour rejoindre les terres lointaines de Kalimdor... Après avoir suivi Moult chemins, j'arrivais enfin dans le village d’Astrannar …

J'avais depuis longtemps entendu parler de cette contrée mystérieuse et de ses montagnes qui dominaient les environs. Les dernières rumeurs des localités environnant parlaient de monstres se cachant depuis quelques temps, très proche des cités, le genres de créatures qu'on ne croisent pas souvent sur notre beau continent.

Combat après combat, coups d'épée après coups d'épée, décidé de lutter dans ce milieux hostile, je finis par arriver sur un vaste plateau, dominant le reste de la vallée … Pas la moindre âmes vivante a des kilomètres, pas le moindre chant d'oiseaux ne parsemaient le ciel … Je me mis a parcourir la région dans un silence absolu … seul quelques vautours par-ci par-là, venaient parfois déchirer les restes des cadavres qui tapissaient ce désert haride…

La soif me gagnant, j’étais décidé d’avancé dans le même direction en espérant trouver un camp … la carte que j'avais eu la bonne idée d'acheter à Astrannar m'indiquait non loin, la présence d'habitations.
Après plusieurs heures de marche, je vis pour la première fois la trace d'une civilisation présente dans ce vide absolue : au bord de la route gisait un panneau, dessus on pouvait lire : « Point de Nijel ».
Aussi tôt je me suis diriger vers la direction qu’il indiquait . C'est seulement quelques foulé plus loin que je vis le camp … un camp garder par un petit bastion de l’armée de Stormwind …

Arrivant sur la place, je me dirigeais vers l’auberge pour me rafraîchir et prendre un peu de repos … mais en montant les escaliers un étranger vint m’aborder en me parlant d'une légion ... , un groupe de malfrats qui menaçait la populaces vers la frontière au sud. Mes yeux s'écarquillèrent quand ce dernière me parla de mort-vivants. Il continua en me disant qu'ils s'étaient réveillés afin de prendre possession de ces terres.

Il ne pouvait être ainsi ... un battement de cœur et mon sang commença a s’agiter dans mes veines …

la vérité et la justice au bout de ma lame, je pris donc la route vers le sud pour trouver cette menace.

En sortant du camp … un rayon de soleil vint éclairer mon visage … dame Asn ... Elle était là en bas du petit chemin illuminant ma journée qui s'annonçait des plus incertaines.
Nous prîmes le temps de discuter et de partager nos histoires et nos quelques périls. Elle semblait aussi curieuse que moi pour explorer ces territoires lointains. Je fini par parler de l’étranger et de la menace qui planait sur les frontières non loin … Elle décida de m'accompagner...

De nouveau sur les routes, nous finîmes par atteindre un grand portail en pierre qui témoignait des ages passés. C'est à cette instant précis que l'ennemi surgit, les squelettes nous encerclaient ... Là surpris passé, je fis briller mon épée et le combat commença. Ma foi et mon courage m'aidant ,leur ligne finit par s'éventrer … Dame Asn luttant depuis quelques heures commença à montrer des signes de fatigue, les morts se rapprochaient dangereusement de ma compagne, je dus prendre une décision rapidement. Me lançant au milieu de la mêlée, je décida de faire mur devant elle … mon experience et ma foi ayant grandit, je finit par venir a bout du dernier squelette qui nous faisait barrage.

Le calme s’installa dans la petite vallée et après un repos bien mérité, nous reprîmes la route inverse pour annoncer la bonne nouvelle au villageois.
Arriver à bon port, nous nous sommes retrouver face a la vérité. L’étranger commença a nous raconter son histoire, son passé et la réel raison pour laquelle ils nous avaient envoyés en éclaireur au devant de ces airants. Après un longue moment d’écoute, il nous conseilla d’aller voir un homme dans le village de soutshore, sur l’autre continent, ce chevalier pourra nous en enseigner d’avantage, finit-il par dire …

…

Nous primes donc la route du retour … Afin de connaître la suite de notre histoire…

Journal de bord. Date du 27 Fevriol. Année 1 :

Nous voilà de retour dans les royaumes de l’est … peu de chose ont changés depuis notre départ …
Comme l’histoire nous l’annonça nous devons nous rendre à l’auberge de Soutshore afin de rencontrer cet homme qui avait un jour combattu pour la légion écarlate. Il était bien là, le visage marqué par de longs combats, portant une lourde armure et une épée à la main comme si il était prêt à combattre à nouveau.
A notre arrivée, l’homme était sur ses gardes … et c’est seulement à l’entente du nom de ce vieil homme qui nous avait envoyé qu’il pu se détendre et nous parler en pleine confiance.
Il commença alors à nous raconter ce qu’il s’avère être une partie du passé de la légion écarlate, du moins jusqu'à son départ …
Visiblement les ténèbres ont pris possession des cœurs des hommes qui se battaient pour ses couleurs … et son souhait était de s’infiltrer dans un de leur bastion, pour mettre fin au complot qui se préparait … pour cela nous devions viser les leaders de cet endroit…
Ce bastion se situerait loin au nord … au plus profond des territoires occupés par les réprouvés …
J’ai compris alors que je devrais partager ces informations avec les officiers de l’ordre. Un tel assaut avait besoin de préparatifs, et les braves chevaliers de l’ordre allaient m’accompagner dans cette mission … porter la Lumière dans de si sombres endroits.

Aussitôt, je me suis retourné dans notre citée de la Lumière, Stormwind, afin de rencontrer le conseil pour discuter de cette situation. Le conseil se réunit alors et j’ai commencer à raconter mon histoire, … l’arrivée dans le royaume de Kalimdor, mon voyage à travers le désert et la découverte de cet avant poste de Nijel dans cette contrée lointaine, les morts que j’ai du combattre aux frontières et finalement mon retour à Soutshore et la mission que m’a été assignée. Plus j’avançai dans mon histoire, plus je voyais le Maître d’armes, messire Alghur, serrer de plus en plus son épée … il ne disait rien … mais l’expression sur son visage parlait d’elle-même … il en savait déjà plus que moi … mais il n’avait pas encore eu l’occasion de nous en parler.

Dès la fin de mon histoire, messire Alghur organisa les derniers entraînements et commanda aux chevaliers de se préparer pour le départ. Je n’osai pas lui demander, j’attendais que les réponses viennent de lui-même … mais le moment n’était pas encore venu.

Après quelques jours de préparatifs, nous prîmes la route vers le nord. En faisant un dernier arrêt pour la nuit dans l’auberge de Soutshore, nous voilà en train de traverser les bords de la forêt argentée pour finalement nous retrouver au pieds des décombres de ce qu’un jour fût la forteresse de Lordaeron … L’émotion nous gagnait tous autant que nous étions … la vue de ces ruines, son passé … et le réprouvé qui l’occupait a présent …
Nous continuons ainsi notre route en passant non loin de Undercity … cité de la mort … pour nous retrouver finalement près des montagnes qui bordent le royaume … un imposant monastère et un portail nous mena au cœur du bastion de la légion écarlate …

Le combat commença, se frayer un chemin dans cette forteresse bien gardée n’était pas la plus simple des tâches … la Lumière dans notre cœur.. les ennemis tombés un après l’autres … pour finalement arriver au plus prés du cœur de cette forteresse … l’endroit où nous allions trouver les commandeurs de cette légion …
Nous nous sommes arrêter un instant pour reprendre notre souffle avant d’engager le dernier combat … avant de pénétrer dans le sanctuaire des commandeurs … un monastère au cœur de ce bastion …

Le combat fut dur … mais les chevaliers de Uther finirent par l’emporter … la fin … mais était-ce donc ça la fin de la légion … ???? à en croire les dires de messire Alghur … nous en étions encore loin de connaître toute la vérité …
La tâche accomplie … nous avons repris la route pour rapporter la nouvelle au chevalier dans l’auberge de Soutshore … et apprendre peut-être un peu plus sur cette légion.

La nouvelle de la mort du commandeur Mogrene et de ses acolytes apporta un petit sourire sur le visage du chevalier … à présent les âmes de ses frères d’armes pouvaient reposer en paix …

Ainsi commença notre quête … la recherche des informations concernant cette légion … visiblement cela n’était pas la dernière fois que nous allons en entendre parler … nous avons appris l’existence de biens d’autres bastions dans le nord … mais pour le moment nous avons besoin de repos …

La quête de vérité continuera … et la Lumière brillera à nouveau … au nom de nos ancêtres …

Pour Uther !!!

Le combat fût rude … mais le cœur des chevaliers de Uther est grand … telle la volonté et leur courage … petit à petit … nous arrivâmes au plus profond de cet endroit … là où le commandeur Mogrene se trouvait … là où notre quête nous mènera …

<hrp>
http://www.solorion.be/wow/fevriol.htm
</htp>

Pour la Lumière

Journal de bord. Date du 12 Marus. Année 1:

Voilà maintenant plusieurs lunes que je n'est pas écrit. Le temps me manque, et les jours passent ... .

En ce jour, nous nous sommes réunis en Arathi, afin d'accomplir quelques quêtes. Cette journée fut longue et éprouvante. D'abord, nous sommes allez rendre visite aux envahisseurs de Stormgarde, à nous tous, ils ne faisaient pas le poid, il faut dire que la Lumière est bien plus forte que tout autre chose. Nous avons donc mis une leçon a leur chef, au sommet du chateau qu'ils avaient pris.

Il y eu ensuite ce prêtre hordeux, qui nous à attaqué moi et mon ami Matmarann alors que nous discutions au sommet de ce gros rochet. Sans l'aide d'Alghur, je crois bien que nous serions aux infirmeries. Heureusement, se hordeux à eut son compte !.

Cette journée c'est fini avec messire Matmarann et Demoiselle Freyjä.
Je n'est qu'une envie à présent, retourner à Stormwind !

Protecteur Nombre de messages : 73 Age : 48 Date d'inscription : 07/02/2006

Journal de bord, Date du 11 Marus, Année 1

Cette journée fut particulièrement chargée.

Nous nous sommes réunis, Sire Amandil, Matmarann, Melkiior et moi afin d’affronter les dangers qui nous attendaient au sein du monastère écarlate.
Au départ de Southshore, le chemin fut long pour nous y rendre, mais la noble tâche qui nous menait là-bas gonflait nos cœurs de courage. Le combat fut sans merci et nous progressions rapidement jusqu’au cœur du monastère. Ce fut une première victoire pour les Chevaliers de Uther. Nous possédons la clé écarlate qui va nous permettre de pénétrer dans l’armurerie.

Plus tard dans la journée, alors que je voyageais en gryphon pour me rendre au refuge de l’Ornière, je vis au sol un épais nuage de poussière à l’entrée de la faille. La Horde assiégeait le poste avancé. A peine arrivé, je me ruais au combat. Les troupes de l’Alliance étaient faible et la tâches fut des plus ardues. Je demandais de l’aide à Messire Alghur qui se mit immédiatement en route pour nous rejoindre. L’Alliance effectua un repli stratégique pour se regrouper et lança un ultime assaut pour repousser la Horde. Surpris par cet élan de courage, les attaquants furent surpris et l’arrivée soudaine de Messire Alghur au milieu de cet ultime combat, fit vaciller même les plus courageux de nos adversaires. La Horde en déroute, nous pourchassions les derniers trainards et sécurisions la zone. Une victoire pour l’Alliance.
Malheureusement j’appris plus tard que les troupes Hordeuses assiégèrent la cité de Stormwind. Cette victoire est bien amère, car à part la vaillance de Messire Alghur, peu de membres de l’Alliance de Haut Cercle, qui étaient pourtant présent en nombre à l’entrée du Bassin d’Arathi, ne prirent part au combat.

La fin de la journée se passa à Theramor et dans les marais qui borde la cité. En effet, Messire Alghur me chapota pour m’aider à gagner ma monture et mon armure de plaque.
L’entrainement commença contre les créatures draconiennes qui peuplent le marais. Le combat fut acharné, ces draconiens sont des guerriers expérimentés et sans l’impressionante dextérité de mon compagnon, je n’aurai pas survécu longtemps. Il me demanda ensuite de combattre d’autres créatures du marais, ce que je fit avec la plus grande détermination.
C’est le visage couvert de sueur et l’armure souillée du sang de mes adversaires, mais un sourire sur les lèvres que je rentrais finalement à Stormwind.

Après avoir changé d’armure et été cherché mon fougueux destrieri, nous repartirent avec Sire Amandil, Alghur et Maxim, pour combattre l’hideuse princesse de Maraudon en Desolace. Les combats qui nous attendaient étaient particulièrement techniques et les défenseurs nombreux et puissant. Après moult déboires, nous finîmes par abattre l’horrible créature.

C’est fatigué, mais heureux, que je rejoignis ma couche tard dans la nuit.

Gloire à Uther ! Gloire à la lumière !

Invité

Journal de bord. Date du 2 avröl, Année 1:

Une nouvelle journée se lève sur le royaume d’Azeroth … je venais de passer quelque temps dans la citadelle de Stormwind pour me reposer. Je n’étais pas seul, certains des chevaliers de notre ordre s’y trouvaient aussi pour se ressourcer. Nous nous sommes arrêtés un instant pour prendre des nouvelles des quatre coins du royaume, hélas nous avons appris que les terres du nord avaient besoin de nous. Le chevalier Ysengrine nous apprendra de biens sombres nouvelles, surtout concernant ce qui fut un jour une de nos plus belles forteresse … Stormgarde. Ainsi, sous le commandement de notre Maître d’Armes messire Alghur et accompagné du chevalier Maxim et dame Freyjä nous nous sommes rendu au point de refuge d’Arathi.

L’agitation était grande dans ce petit avant-poste de l’alliance bien trop souvent attaquée par la horde, et peu nombreux sont ceux qui le défendent. Aussitôt le chevalier Ysengrine parti prendre les dernières nouvelles auprès des capitaines de cet endroit.

Notre arrivée sur les lieux leur remonta un peu le moral et aussitôt nous nous sommes vu assigner un certain nombre de missions, dont l’inspection de la forteresse de Stomgarde. Nombreux étaient ceux qui étaient tombés en défendant cet endroit … et la dernière chose que nous pouvions faire pour ces héros était de récupérer leur insignes … pour leurs familles … et pour leurs proches … leur nom restera dans nos mémoires …

Ainsi nous nous sommes rendu sur place, la forteresse était dans un pitoyable état … les feux avaient visiblement ravagé la majorité des fortifications et des constructions à l’intérieur, seul une petite partie était encore sous le contrôle de l’alliance.

Le combat fut sans merci mais notre courage sans limite nous poussa de plus en plus loin dans le donjon de Stormgarde. Au plus haut de la forteresse nous sommes tombé sur les chefs de cet endroit … D’un cri de bataille Ysengrine se jeta au combat … les visions que nous avons eu à ce moment des anciens combats ne faisaient qu’augmenter notre force … et nous pousser de plus en plus vers la victoire … d’un dernier coup d’épée messire Alghur lança son dernier jugement sur un des chefs … et Ysengrine planta son épée dans le ventre de son acolyte mage … le combat était fini …

Nous sommes retourné au point de refuge pour porter les insignes que nous avons pu récupérer … que leurs âmes reposent en paix à tout jamais …

Après tous ces combats je me suis retourné vers notre citadelle Stormwind … ou plus tard dans la soirée je reçu un mot d’une inconnue qui m’attendais dans le donjon de Stormwind pour me parler …

Je me suis alors rendu sur place et pour ma plus grande surprise je me suis retrouvé devant une petite personne qui rappelle beaucoup le peuple nain, avec une bien étrange histoire. Elle se nomme Mallya et se dit fille de Ishnaldora, elle-même fille de Allitrance … et petite fille du grand paladin Uther … j’étais stupéfié … que dire …

Elle voulait à tout pris rejoindre notre ordre au nom de son grand-père … mais hélas les chevaliers de Uther n’ont jamais admis parmi eux que des humains … J’ai aussitôt pensé à l’orienter vers Maître Gromwald et son ordre … mais je n’ai même pas eu le temps de finir ma phrase et la jeune dame avait disparue.

Je suis sorti alors dans les rues de la ville à sa recherche … j’étais inquiet pour son destin, si jeune … quelques minutes plus tard je l’ai retrouvé sur un des ponts de Stormwind … elle était remplie de tristesse … j’ai commencer à lui parler mais mes paroles n’arrivaient pas à l’atteindre … et en récitant une prière pour la Lumière elle se jeta du pont …

En vain fut mes efforts pour la ramener à la vie … j’ai échoué … pour la première fois de ma vie je ne suis pas parvenu à sauver la vie … fut un signe du destin … les dieux avais pris cela en main … la jeune dame Mallya était morte …

Invité

Appel aux armes au Monastère

" Après des combats acharnés dans la jungle contre les trolls et surtout contre ces horribles moustiques.
Je savoure quelques minutes de repos dans ce coupe gorge faisant lieu d'auberge à la Baie du Butin.
Tout en restant sur mes gardes face à la mine patibulaire des autres clients de l'établissement.
Il faut dire que celà résulte de l'exploit d'y prendre son repas sous les yeux exorbités de quelques Orcs ou voir pire Mort-vivant songeant d'ailleurs à faire de moi leur festin. Bref, leur expliquant d'un regard déterminé et surtout la main posée sur ma masse, le tout renforcé par la présence verdâtre mais néanmoins sympathique de quelques célèbres Cogneurs.
Je les dissuade de procéder à la découpe de ma personne pour d'éventuelles préparations gastronomiques. Perdu dans mes pensées et surtout à la recherche
de techniques de combats contre les pires créatures de la jungle ... lesmoustiques. Je dois l'avouer mon enchaînement face à ces monstres
est de bien piètre efficacité avec son bon vieux marteau à deux mains . Ne m'avouant pas battu. Je décide d'en faire part à Messire Alghur, le vénérable Maître d'Armes lors de notre prochaine entrevue.

Et je vais vous le dire, le hasard faisant toujours bien les choses Du moinsle pense le-t-il ! A cet instant précis, Messire Alghur convoque
les Ecuyers présent pour un entraînement surprise dont il a le secret. Vous allez dire ce qu'unentraînement ...
Répondant rapidement à l'appel l'Ecuyer Artigor et moi même nous rendons prestetement à Southshore pour y retrouver
notre tortionnaire...pardons instructeur. A peine arrivés sur place, Messire Alghur nous fait l'immense honneur de nous annoncer
l'objectif de notre entraînement ...qui s'avère être ni plus ni moins qu'un raid éclair dans la cathédrâle du Monastère Ecarlate. Je frémis
d'avance le jour ou il nous dira " Chevaliers nous partons en missions". N'écoutant que notre courage, nous nous mettons en route vers
ce sinistre endroit qui nous servira de terrain de manoeuvre cet après-midi. Nous quittons Southshore et nous nous enfonçons au travers
des lignes de défense de la Horde au coeur du territoire ennemi. Nous croisons sur notre chemin quelques Ogres qui ont eu la mauvaise idée
de nous opposer une vaine résistance qui ne dura que quelques secondes. Maître Alghur nous guidait, organisait nôtre marche et nous informait
des dangers qui nous attendait dans cette basilique de pierre vouée au démon. Plus nous avançions dans ces terres désolées et ravagées par la
corruption de la non- vie. L'arme à la main nous nous taillions un chemin sanglant vers notre objectif.

Arrivés devant ces antiques murs, nos coeurs se serrèrent car nous allions devoir y répandre la mort et peut être la rencontrer. Mais le temps
n'était plus à la pensée mais à l'action. Joignant le geste à la parole, nous vérifions une dernières fois nos armes et armures afin d'être fin prêt
au combat. Rassuré par la bonne mise de notre livrée, nous gravisons lentement les escaliers et en écoutant les conseils de notre Maître d'armes.
Au sommet de la volée d'escaliers, une grande pièce faiblement éclairée ou des cultistes écarlates nous attendaient. Les armes jaillirent dans nos mains
par réflexe, les bénédictions prononcées et le combat commença...il fut rapide car ces sbires n'étaient pas de taille à lutter contre nous et la Lumière.
Après avoir inspecté la salle et s'être recceuilli pour les âmes de ces malheureux... Alghur sortit une vieille clef rouillée ou écarlate de sa besace et
fît face à une massive porte en bois bardée de fer. Après un bref instant de réflexion, il introduisit la clef dans la serrure et les crisements du mécanisme
nous rappelaient soudainement que le plus dur étaient à venir. Nous franchîmes uns à uns le seuil de cet tombe en devenir laissant les traces de nos
pas dans la poussière derrière nous . Nous y étions... devant nous un petit couloir éclairé par des torches nous invitait à la suivre. L'air était doux.
On pouvait y discerner quelques parfums de fleurs, la fraîcheur de l'eau vive...Messire Alghur ressentit notre malaise et nous ramena bien vite à la
sinistre réalité. "Cet endroit n'a rien d'enchanteur...Le démon a pris possession des Lieux". Ces quelques mots nous laissèrent un gout amer dans la
gorge. Mais nous rappelaient que notre devoir nous attendait en ces murs. Après une prière à la Lumière. Nos chants de guerre résonnèrent dans
ce cloître ravagé par l'infâmie. Messire Alghur donna l'ordre de la charge ...Oh que c'était bon et grisant de croiser le fer avec mes Frères d'armes.
Nous n'étions pas trois mais un . Un seul être de Lumière à la fois, épée et bouclier terrassant tout sur son passage. Malgrè la fureur des combats,
nous entendions les ordres de notre chef. Ces mots étaient les moteurs de nos actes, ravivaient nôtre courage guideaint nos lames. Messire
Artigor combattait avec une ferveur sans pareil, il opposait son bouclier aux assaults de nos ennemis, dispensait les bénédictions salutaires à notre
corps et notre esprit au coeur des combats. Réduisait au silence les incantateurs des ténèbres. Nous progressions salles après salles, couloirs après
couloirs pour atteindre le coeur de cet anathème. Voilà nous y étions... Après avoir sécurisé les jardins bordant cette église des enfers.Nous faisions
face aux portes de la Cathédrâle. Savourant le silence ... je regardais fixement mes compagnons. Fier de ce que nous avons accompli. Maintenant
j'étais certains que rien ne saurait arrêter notre juste courroux. Messire Alghur ouvrit les portes ...et là ...notre combat prenait tout son sens. Nous ne
pouvions tolérer que ce lieu soit envahi par les Ecarlates. Ils étaient devant nous, silencieux, absorbés dans leurs noirs rituels. Nous défiant de leur
présence. Messire Artigor ne le supportant d'avantage chargea Myrmiddons, Centurions, Sorciers, Abbés,... Le bouclier haut et l'épée pointée vers la
mort , il se rua au milieu du culte obscur. Entraîné par le courage et la fureur de notre compagnon Messire Alghur et moi même entrons à notre tour dans cette
danse de mort. L'ennemi était nombreux, organisé, solidaire dans la mort, tant pour la donner que pour la recevoir. Notre rage nous submergeait.
Pendant un bref instant, notre cohésion fût brisée par notre juste colère. Nous étions noyés par le nombre, blessés, diminués dans notre esprit...
La situation me parût désespérée, perdue ...Puis soudain le silence. Le temps se figeait. Machinalement je resentit le besoin de croiser le regard de
mes Frères d'armes une dernière fois. Quand tout à coup le destin trancha en notre faveur. Messire Alghur entonna d'antiques chants de victoires pour réconforter
notre corps et nôtre âme. Puis calmement notre union pris le dessus. Nous multiplions les coups d'estocs, les feintes, nous tranchions les chairs, nos
boucliers brisaient les armes de nos ennemis. Nos armes guidées par la Lumière perçaient la chair et le moral des forces corrompues.
Le souffle court, nous regardions notre oeuvre. A nos pieds, des dizaines de cadavres, le seuil était recouvert de sang et dans l'air planait une une horrible
odeur de mort. Nous étions blessés, épuisés, hagard comme au réveil d'un cauchemar mais vivants. Personne ne dit mots, mais nos yeux parlaient pour
nous. "Oui mes Frères...nous avons triomphé d'une mort certaine. Car nous étions ensemble ...Tout simplement.".

Mais ne pouvions nous arrêter devant cette victoire car d'autres combats nous attendaient au choeur de cette batisse. Machinalement nous réduisîmes
au silence les dernières troupes avant d'affronter les chefs du culte ...

Tous trois nous lui faisions face et d'une même voix, nous le jugeâmes au nom de la Lumière et de Uther. La sentence fût sans appel et rapide. La mort.
Le Commandant Mograine ne se fît pas prier et l'arme à la main commença sa défense. Mais nous, ses juges connaissions déjà l'issue ...
Il cédait sous nos coups, notre foi, notre emportement. La victoire était prôche quand soudain les portes derrière l'autel s'ouvrirent...nous annonçant la venue
du Grand Inquisiteur Whitename. Par de sombres rituels, elle soigna son Champion et ils se jettèrent tout deux dans la mêlée. Nous concentrâmes
nos coups ravageurs sur cette Sorcière et Messire Artigor d'un coup de taille dont il a le secret lui perça les côtes et planta sa lame dans un poumon.
Elle s'effrondra net sur le sol, s'étouffant dans son propre sang. Le Commandant perdait pieds peu à peu. Et Messire Alghur d'un coup ravageur lui arrachait
ses derniers soupirs .

Comme nous pouvez le constater...ce n'était qu'un entraînement."
Merci à vous Frères d'armes

Amicalement Ysengrine

Invité

Journal de bord. Date du 3 avröl, Année 1:

Le soleil se lève à nouveau sur la cité de Stormwind … et le souvenir de cette jeune dame … emportée par la mort dans un sentiment de désespoir … me hante toujours.
Quelle était son rôle dans ma vie ? il y a-t-il un message derrière tout cela ? c’est en pensant à tout cela que je m’avançais vers la cathédrale pour trouver les réponses à toutes ses questions.
Sur mon chemin un jeune garçon s’approche de moi et me tend un parchemin enroulé … je m’y suis arrêter … et en ouvrant ce parchemin, grande ne fut pas ma stupéfaction … la signature en bas du parchemin « Mallya La Main d'Argent ». J’était la sans réaction à la vue de cette écriture … cela était-il possible ? La jeune dame me donnait rendez-vous au coucher du soleil devant la cathédrale de Stormwind …

…

Long fût les moments d’attente … tant des questions … je l’avais vue de mes propres yeux pourtant, la mort l’avait emporté … la force, la volonté de notre seigneur Uther était-elle intervenue pour changer le cours de l’histoire … je ne pouvais guère répondre à tout cela … je devais la voir.

Le moment était venu … je marchais droit à travers le quartier marchand vers la cathédrale … un dernier pont à traverser … la vue de l’eau me rappela ce qui c’était passé le soir avant … la chute dans l’eau de la jeune dame et mes efforts pour la ramener à la vie … mon premier échec.
J’ai continué à avancer … et me voilà arrivé devant la cathédrale … et là … une jeune dame attendait … mais … elle n’était plus du tout la même personne … que c’était-il passé ???? autant d’intrigue que mon cœur perdait de son rythme … c’était comme si je venais de voir le seigneur Uther se tenant derrière cette jeune dame … son protecteur …

La jeune dame s’avança vers moi … et commença à me parler … c’était bien dame Mallya et ce qu’elle eu à me raconter … était bien plus qu’inimaginable …

Apres sa chute dans l’eau et l’interminable traversée vers l’obscurité, un rayon de Lumière se montra … devant ce rayon les gardiens de la Lumière qui lui décline le passage et qui lui partagent que son destin est tout autre et qu’elle doit revenir parmi les mourants pour accomplir les tâches qui lui ont été assignées … son devoir en tant que paladin.

Quand la jeune dame reformula sa requête pour intégrer l’ordre je ne pu lui la décliner … il y avait bien trop des choses qui s’étaient produites depuis le dernier soir, donc sans hésiter je l’ai admise parmi les chevaliers en l’honneur de son grand père … mais j’attendais qu’elle puisse faire ses preuves.

De le jour suivant, je l’ai présentée au conseil qui lui a réserver un accueil très animé et nous voilà avec une chevalier de Uther pour défendre la Lumière …

Pour la Lumière,

Invité

Journal de bord. Date du 29 avröl, Année 1:

Le calme s’était installé sur la forêt d’Elwyn, et moi, je retournai vers ma maison d’enfance dans le camp de bûcherons à la frontière ouest de cette contrée.
Il faisait de plus en plus sombre et moi j’avançais sur le chemin qui mène à l’ouest, heureux de retrouver le calme de ce petit village.
Arrivé sur place, j’ai enlevé ma lourde armure et mon épée et je me suis installé devant la maison autour d’un feu de camp. Les yeux perdus dans le ciel, j’étais en train de me remémorer les souvenirs de l’enfance … les moments où je me retrouvais sur les genoux de mon père qui me racontait ses exploits dans des lointains royaumes. La soirée était calme, le ciel étoilé et un doux courant d’air qui souffle venant de la rivière … je me suis endormi …

Les premiers rayons de soleil d’un nouveau jour sur mon visage, j’ouvrai les yeux … le feu était éteint … un lapin qui s’était trop approché de moi me fixa du regard. Je restai comme ça en le regardant un moment … et puis tout d’un coup le bruit d’un cheval qui arrivait au galop le fît fuir. C’était un messager, un messager du royaume même d’Ironforge … depuis la disparition de mon père, l’accomplissement de ma formation en tant que paladin … et bien … on me connaissait moi Amandil … et non plus le fils d’Armanelos. Une mission m’attendais … mais le messager ne me laissa rien savoir mais me demanda juste de me rendre dans la ville des nains au plus vite …

Sans laisser le moindre mot aux chevaliers, ni aux officiers de l’ordre … j’enfilais mon armure et en attrapant mon épée en sortant de la maison, je pris la route de Ironforge.

Une fois arrivé, le roi même de Ironforge me recevra, … messire Magni Bronzebeard en personne. Il avait une bien sombre histoire à me raconter … sa fille bien aimée avait été enlevée par l’empereur des dark irons … et amenée au plus profond de la montagne … Une image, un souvenir d’une petite sœur … bien trop jeune que j’ai confié à l’église de Stormwind le jour où j’ai commencé ma formation à l’abbaye … et mon choix était déjà pris … je devais partir au secours de cette jeune fille Moira ….

Etait-ce le sentiment de culpabilité d’avoir abandonné ma petite sœur … était-ce autre chose … je ne le saurais, mais je chevaucha sans réfléchir jusqu au pied de montagne.

Le nuit tomba, et moi … et bien, je continuais a avancer aveuglement à travers les galeries à la recherche de la cité des dark irons … une cité bâtie au plus profond de la montagne.
J’était loin à ce moment de me rendre compte des dangers qui m’attendaient dans cette montagne … mon cœur ne battais plus que pour retrouver cette fille … et la ramener auprès de son père … c’est tout ce que je voyais …

Mais au plus j’avançais, plus les ennemis étaient nombreux …et les combats de plus en plus acharnés … j’étais encerclé … perdu dans ces galléries … et je n’avais pas encore trouvé l’entrée de la cité … je perdais espoir … et petit a petit je me rendais compte de la réalité …

J’étais parti sans laisser de mot aux chevaliers de l’ordre … personne ne pouvais savoir ou j’étais … plusieurs jours étaient passés et moi je n’avais plus la force de combattre … une poursuite sans relâche depuis plusieurs jours … m’avait longuement épuisée … en vain j’essayais de trouver la Lumière dans un endroit déserté d’espoir … je n’arrivais guère à me relever … mais la main serrée sur la poignée de l’épée je continuais à faire connaître ma présence en ce lieux … ce n’était plus qu’une question de survie … de retrouver son chemin vers la sortie …

Après plusieurs jours de recherche … j’ai entrevu à nouveau la Lumière … et j’étais sorti de l’autre coté de la montagne … Epuisé … blessé et vidé de tout mes forces, je cherchais à retrouver mon chemin vers nos contrées de l’est … mais j’étais perdu … sans la moindre idée d’où je me trouvais. Un choix difficile s’ouvrait à moi … retraverser la montagne pour me retourner vers la ville d’ironforge ….

Mais encore une fois un signe … mon destin se montra à moi … mon noble destrier se tenait non loin, au bord d’une route dont je ne savais pas où elle menait … je ne comprenais pas comment il avait fait pour arriver là .. mais était-ce encore le temps pour ce genre de questions ? … ma place n’était pas là … je devais retourner auprès de mes chevaliers et de mon ordre …
Ainsi j’ai pris la route et je me suis laisser mener par l’intuition de mon destrier qui savait où il allait … Après encore deux jours de route … nous voilà passer la frontière des carmines … bientôt je serais au village de Lakeshire … j’était heureux à l’idée de retrouver les chevaliers et notre belle ville de Stormwind.

Je me suis rendu compte alors que ma place était aux cotés de mes chevaliers, notre unité faisait notre force … et c’est ainsi aussi que mon père un jour pris la décision de partir loin d’ici et suivre le destin qui lui avait été assigné …

Il n’y avait qu’une chose qui hantait encore mon esprit … le sentiment d’avoir abandonné ces braves chevaliers qui portent les couleurs de mon ordre pendant ces jours où je croyais pouvoir forger mon destin tout seul avec mon épée …

Pour la Lumière

Journal de bord. Date du 10 Kythorn (juin). Année 1:

Le temps était claire et dégagé, quand le griffon atterrit prés du Monastaire. Le brouhaha et les cantiques chantés pour les frères de la commauté s'étendait au-delà des murs du batiment saint.

Quel bonheur d'être de retour chez soi ! D'écouter mugir les vents de la forêt d'Elwynn et de sentir leur caresse tellement vivifiante ...

Ca paraît si évident ... Etre en vie ... Et pourtant, trop souvent, nous oublions l'importance de cette "Evidence". perdre de vue que nous sommes vivants est si facile ... Tous les levers de soleil sont offerts à notre appréciation et tous les couchers de soleil, à notre sensibilité ...

Quant aux heures diurnes ou nocturnes qui les séparent, à nous d'en faire ce que nous voulons .

Comme il est facil d'oublier que ceux qui croisent notre chemin peuvent à tout instant mourir et venir hanter nos souvenirs, bons ou mauvais, ou encore briser la monotonie des heures qui s'enchaînent ! Les instants gâchés ou tout semble se fondre dans une routine abêtissantes ... Voilà l'ennemi ! Au cours d'une existence, ce sont autant de petites morts.

Oui, quel délice d'être de retour à la maison, dans la belle cité de Stormwind, ou la popullation grouillent et ou les marchands pullullent ! Voilà des mois que je ne m'étais plus senti aussi vivant et en paix avec moi-même ... Trop longtemps, j'ai prié et suis resté cloitré. Trop longtemps, je vous ai laissé ...

Quel idiot j'étais de m'eloigner de mes freres et soeurs en oubliant de profiter de chaque jour que vous aviez à m'offrir ! Quel idiot je suis de délaisser le présent pour ruminer sur un avenir éventuel !
A chaque moment, chaque jour nous mourons un peu plus. C'est la vérité incontournable de cette existence, capable de nous paralyser d'effroi ou au contraire de nous galvaniser, de nous inspirer la foi, de partir en exploration avec l'espoir - que dis je, la volonté féroce ! - de tisser avec chacun de nos actes la riche tapisserie des souvenirs. Se sentir vivant, au soleil ou à la belle étoile, qu'il fasse beau, qu'il fasse mauvais ... Et danser à chaque pas, le long des jardins en fleurs ou des chemins enneigés !
Les jeunes gens connaissent cette vérité première que tant d'adultes ou d'anciens ont oubliée ... D'ou la colère et la jalousie que beaucoup réservent à la jeunesse. Combien de fois n'ai-je pas entendu cette lamentation si commune: "Si seulement je pouvais revenir au temps de mes vingt ans en sachant ce que je sais maintenant !"

C'est le sens de la vie, j'en suis enfin venu à le comprendre. Et ce faisant, j'ai trouver la joie. Vivre sa vie avec cette connaissance fondamentale vaut amplement une existence de plusieurs années passée l'echine courbée et les épaules voutées.

Je me rappelle ma première bataille a vos cotés, pour defendre le peuple. alors que toutes les chances étaient contre nous, je ne demandais qu'à vivre !

A mesure que j'avais plus à perdre, cet amour de la vie alla en diminuant ... Etrange.

Il m'aura fallu subir bien des mois de prières pour mesurer toute l'absurdité de ce type de raisonnement. Il m'a fallu sortir du monastère pour me dessiller les yeux - et être comme révélé à la vie qui est la mienne ... Apprécier les beautés qui nous entourent, rechercher les émotions qui nous font nous sentir tellement vivants au lieu de les fuir !

Naturellement, il restera toujours les soucis et les angoisses. Certain nous ont quittés pour aller je ne sais ou, et je m'inquiète pour eux. mais j'ai fini par accepter que le choix de leurs destins leur appartenaient. Et au nom même de leurs intégrités physique et spirituelles, ils devaient s'éoigner de nous. Cela aussi je viens de l'admettre. Je prie pour que nos chemins se croisent de nouveau, et que comme moi, ils retrouvent la route de leur foyer. Je prie pour avoir bientôt de leurs nouvelles, pour calmer nos craintes ou au contraire nous inciter à voler à leur secours.

Patience, Chevaliers d'Uther, patience ! En attendant, je ne dois pas laisser mes peurs me rendre aveugle à la beaut de la lumière.
Pas question !
Il y a trop d'amis à revoir.
Il y a trop de compagnons à saluer.
Il y a trop de beauté à apprecier.
Il ya trop de mal à repousser.

Compagnons ... vous m'avez manquez ...
Matmarann

Journal de bord: Date du 22 Kythorn, An 1:

J'étais de nouveau dans les Paluns, a patrouiller dans les marais pour le compte des civils du Port de Menethil. Je leur ai proposé mon aide la veille, aide qui fut grandement accepté. C'est donc ainsi que je me suis mis a arpenter ces Terres.

L'endroit serait magnifique s'il n'y avait pas autant de Murlocks, Gnolls et Orcs. Si ils n'étaient pas aggressifs, passe encore mais là ils s'en prennent à la population et ca je ne peux le tolérer. J'ai donc commencer a essayer de leur faire entendre raison, mais la barrière de la langue est assez difficile. Les Gnolls et les Murlocks ont un commun très rudimentaire, quand aux Orcs inutile de bavasser, je me suis fait attaquer a vue..

Lorsque j'essuyai ma lame, après y avoir versé de l'eau au préalable pour éviter le sang de séché, je recus une missive d'un coursier de Menethil, un jeune garcon d'environs une quinzaine d'année déjà fortement bâti pour son age. Je le remerciai en lui offrant quelques pièces qu'il accueillit avec enthousiasme.

Je dépliai la lettre soigneusement. Un mot y était inscrit:

"Retrouvez moi a la Taverne d'Eau-Profonde.

Ysengrine.

C'est un Chevalier de Uther, j'allais enfin le rencontrer, depuis tout ce temps. Je trépignais d'impatience, d'excitation et une certaine appréhension se mit a naître dans mes entrailles. Je pris le temps de me calmer puis me hâta afin de ne pas lui faire perdre de son temps précieux.

Une fois sur place, je le vis, non loin de l'auberge, dans son armure étincelante où sa silhouette se détachait dans un bain de couleur orangé. Je m'avancais doucement, découvrant peu a peu les traits de cet homme. Traits qui me semble pour le moins juvénil. Ses cheveux blancs soigneusement coiffé laisse voir un visage serein, marqué par les épreuves mais sans pour autant avoir perdu de sa bienveillance et de son avenance. Lorsqu'il me vit, il me sourit et me salue humblement. De légers échanges de courtoisies se firent puis il m'amena à le suivre jusqu'a leur citadelle, en Theramore.

J'étais, je l'avoue, à ce moment là, des plus stressé, ce qui n'échappa a mon interlocuteur qui essaya, dans sa grande gentillesse, de tenter de me rassurer sur la suite des évènements. Il dégageait tant d'allure et de douceur dans le ton suave de sa voix que je me surpris à me relacher peu a peu. Je ne vis même pas que le bateau était arrivé à quai. Je me précipitai sur le ponton, cachant ma maladresse avec un manque d'expérience flagrant. Lorsque mon regard se posa sur la citadelle de Theramore, je fus éblouis par sa magnificience. Ces murailles si hautes et si imposantes semblaient sortir tout droit de la Terre, comme de gigantesques montagnes, croulant sous les rayons timides du Soleil couchant. Plus l'on avancait, plus mon regard se posait tout autour de moi. La ville était calme, paisible. Très différente du brouhaha incessant de Stormwind, ici, rien de tous cela. Les gardes se saluent, les habitants font de même, chacun semble vivre sa vie pleinement malgré tout les périls qui ont lieu au travers du Monde.

Ysengrine m'amena jusqu'a la forteresse des Chevaliers, une immense batisse, comme une grande tour, où trône a l'intérieur une véritable caserne. Nous montons alors a l'étage, où Ysengrine s'assit, me proposant de faire de même. La discussion prit son cours, et elle venue sur moi. Je ne savais pas vraiment quoi dire, j'espère ne pas lui avoir fait trop mauvaise impression. J'ai été touché par sa franchise et sa facilité a s'ouvrir, car il me dit certaines choses que moi seul apparemment connait.

Messire Alghur arriva par la suite, un ami de mon Père, qui a combattu a ses côtés au temps de La Coalition. Un homme d'honneur, très aimable, qui semble aimer les armes au vu de son enguouement pour les rateliers de la caserne. Ensuite tout alla très vite, nous redescendîmes, afin de nous restaurer et Messire Melkiior puis le Haut Commandeur Amandil arrivèrent peu de temps après. S'ensuivit Messire Matmarann. Je crois que j'étais tellement impressionné que personne n'a du me remarquer de prime abord. Il faut dire qu'ils dégagent tous tellement de charisme.

Nous en sommes donc venus a parler de mon intégration et de mes raisons de les rejoindre. Je crois sur le coup qu'ils ont aimés ma franchise et ma droiture. Il faut dire que je ne postulais pas par hasard. J'ai été agréablement surpris et pour le moins heureux de les voir si enclin a m'accueillir au sein de leur "troupe". Pour une première rencontre, je suis vraiment très content. Par la suite, ils montèrent se réunir pour parler. Je me mis a attendre en bas, ne sachant trop quoi faire ni comment réagir. Je fis appeler un coursier pour qu'il envoie cette nouvelle a mon Père, qui est d'ailleurs très fier de moi. Cependant quelque chose me surpris durant mon attente, une jeune femme m'interpella.

Je fus estomaché par sa beauté et son élégance. Sa douce voix arrivant a mes oreilles comme le doux resac de la mer parvenant avec légereté sur le sable fin. Je ne sus quoi répondre, restant a la contempler, puis voyant que je n'étais pas très bavard elle me redemanda le pourquoi de ma visite en ces lieux. Je lui répondis que j'étais venu pour rencontrer Ysengrine afin de parler de mon intégration future. Elle me fit signe alors de la suivre dehors ayant entendu les voix de ses compagnons plus haut. Surement voulait elle éviter que je n'en entende plus, étant quelqu'un qu'elle ne connaissait pas, rien de plus normal a vrai dire. Je la suivis alors, son doux parfum inondant mes narines, je pouvais fermer les yeux que je l'aurais suivi partout a l'aveuglette.

Elle se présenta a moi, Opalyne. Un nom aussi gracieux que la jeune femme qui le porte. Je lui pris la main et l'embrassa avec respect. Mais les mots me manquèrenet cruellement, et elle rejoigna ses compagnons. Quel imbécile j'ai fais ce soir là. J'espere que nos chemins se recroiseront de nouveau. En tout cas ce fut une excellente soirée, que je garderais dans ma mémoire, je ne laisserais plus mes souvenirs m'être dérobés.

PS: Je crois que le chien de garde m'apprécie depuis que je lui ai concocté un petit repas de fortune, c'est une bonne chose.

Journal de bord: Date du 24 Kythorn, An 1:

Mon aide dans les Paluns était toujours requise. Je suis donc resté plus longtemps que prévu. Ma bataille contre les Orcs Dragonmaw n'avait de cesse et je récupérais rarement leur précieux étendard comme preuve de ma loyauté.

Alors que je m'apprêtais de nouveau à combattre, Messire Théoris me proposa son aide. J'acceptai volontiers. Il arriva rapidement. Dans son armure quelque peu émechée par de nombreux combats, il me fit noble révérence et nous combattîmes ensemble.
Cet homme est d'une puissance démesurée, presque effrayante...Il est mystérieux et j'ai senti en lui un trouble, quelque chose d'incontrôlable. Je n'ai pas voulu poser de questions. Alors nous avons poursuivis jusqu'à Dun Modr pour aider les Nains du Viaduc de Thandol. Sur place une gnome a demandée notre aide que j'ai consenti volontiers a lui donner, quoi de plus normal.
Après maints combats, nous avons réussi à ramener un semblant de Paix et rendre honneur à un Nain tombé a la bataille, en lui offrant une sépulture décente.
L'aide de Messire Théoris a été des plus utile et sa compagnie des plus agréables. Je ne sais comment le remercier. Il pourra compter sur moi et je ferais tout pour devenir fort, à son image, et lui rendre la pareille un de ces jours.

Je sens que cette nouvelle "famille" est ce que je cherchais sans le savoir. Je donnerais ma vie pour les servir, et puis de toute manière, ma vie appartient au peuple et à ceux que j'aime.

Journal de bord: Date du 20 Aör, An 1.

Gadgetzan

Me voilà sorti de mes songes plus ou moins douloureux. Il est presque midi. Ma tendre adorée n'est plus a mes côtés, elle a du partir au petit matin. Je reste là, allongé dans mon hamac, à regarder le plafond de bois miteux et sombre.

Mon corps n'est que douleur. Le moindre de mes mouvements nécessite un effort intense et je me sens vraiment fatigué, comme si toutes mes ressources s'étaient envolées. J'essaye tant bien que mal de me souvenir les évènements de la veille mais tout est confus dans ma tête. Presque inconsciemment ma main vient se poser sur mon épaule gauche, la massant fortement. Un léger picotement me parvient, et là, aussi impromptu qu'imprévu, tout me revient en un éclair. Tout ce qui s'est passé se met a défiler dans ma tête a une vitesse folle.

Le Gouffre Béant, 15h plus tôt:

"Mon bien-aimé où te trouves-tu que je te rejoignes. Je me languis de te revoir."

Sa voix me parvint aux oreilles comme le doux chant matinal de printemps des oiseaux de la Forêt d'Elwynn.

"Je suis au Gouffre Béant, au sud-est de Gadgetzan, aux prises avec ces maudits insectes Silithides. dis-je en enfoncant ma hache profondément dans la chair de la bestiole qui tombait au sol dans un déchirement de convulsions.

"Bon sang, a ce train-là, si je ne le trouve pas très rapidement je risque de finir coincer dans cette maudite ruche..."

Je regardais partout, marchant doucement dans la pénombre des tunnels. Mes yeux s'étaient peu a peu habituer a cette obscurité, je marchais cependant avec un léger tâtonnement de sécurité, ma hache bien en main, prêt a parer a toute éventualité. Le coeur battant j'approchais du centre de la ruche et là je vis, comment le décrire, une véritable fourmillière. Mais dont les occupants avaient deux fois ma taille.

Pendant l'espace d'un instant, mon corps ne bougeait plus.

"Allez avance, avance ! Rester là n'y changera rien, tu dois le retrouver et le sauver, tel est ton devoir. Ta Foi seule te sauvera dans ces Ténèbres, ai foi en toi."

Le regard confiant, je serrais ma garde soigneusement et commenca la descente. Pris de cours par un bruit suspect, une guêpe silithides plongea sur moi. D'un geste vif, je me retournais pour parer son dard mortel, avant de lui asséner un coup de pied dans l'abdomen qui la fit mettre ailes a terre. Je brandis ma hache loin au-dessus de ma tête avant de la laisser s'écraser sur l'insecte. Je n'eu pas le temps de la retirer qu'un scarabée géant me chargea et m'envoya paître contre le mur violemment.
Le choc fut rude, j'étais a moitié grogui, sans arme. L'insecte se rua de nouveau sur moi. Je me jetai subtilement au sol, sur le côté, avant d'en appeler l'aide de la Lumière. Un éclair doré vint frapper le corps de la bête de plein fouet, la faisant rouler de côté et l'ébouissant momentanément. Je courus reprendre ma hache et me mis face a mon opposant. Il se remettait peu à peu et moi je l'attendais. Un long moment de suspension où tout semblait être arreté sonna la charge des deux attaquants. Ma hache siffla nombres de fois sur la carapace du monstre. Ses mandibules acérées rippaient sur mon armure. Mais ce fut ma hache qui eu raison d'elles. D'un coup net je les tranchais avant de laisser terminer sa course destructrice en plein milieu de la tête du scarabée.

Je reprenais mon souffle péniblement. La chaleur et l'odeur de renfermée et de moisissure me donnait envie de vomir. Il me fallait au plus tôt retrouver ce gobelin. Je continuai donc ma route. Pendant de longues minutes, qui me parurent des heures, je tournai en rond.

"N'y a-t-il donc aucun moyen de sortir d'ici...? Attends voir..là-bas je vois la lumière du jour. Peut-être le trouverais-je dans le coin, non loin."

Je me précipitai, non sans hâte, vers la sortie. Mais dans ma course éffrénée, je ne vis pas une travailleuse tunnelière foncer sur moi. Elle m'attrappa a l'aide de ses mandibules et me jeta au sol férocement. J'étais désemparé, et je la vis s'élever au dessus de moi avant d'écraser ses pattes sur moi. Je parvins a les éviter. Une, deux, trois..La quatrième me déchira le bras droit. Mais je tint bon. Elle voulut me déchiqueter mais je mis ma hache en travers, comme seule bouclier. Elle me prit comme une feuille et me souleva de nouveau me faisant virevolter de tout côté.

"Ne lâche pas ! Pas encore ! Attends...MAINTENANT !"

Je lachai prise avant de tomber au sol lourdement, ma hache dans sa gueule l'empêchai de pouvoir me dévorer et semblait la perturber, elle tentait vainement de s'en débarasser. Ses cris retentissait dans toutes la salle et dans les couloirs dans un terrible écho assourdissant. A ce rythme là, c'est la ruche entière qui allait débarquer. J'en appela de nouveau la Lumière et fit naître au creux de ma main un marteau divin, dont la lumière bleuté parvenait a repousser les entrailles obscures de la Terre. Je me concentrai pleinement avant de le lancer avec agilité et force dans le ventre de la bête qui s'écroula au sol, agonisante. Je pris encore dans mes ressources pour me soigner rapidement. Je récupérai mon arme et courus de nouveau vers la sortie, mais preque au bout de ma course, je sentis maintes piqûres me darder le dos. Un cri de douleur s'échappa de mon être, lorsque je me retournai et vit trois guêpes fondre sur moi. Comment ais-je pu le laisser s'aprocher ainsi ? Il était trop tard, la confrontation était inévitable.

"Ma douce...Je t'en prie viens vite...! Je tiendrais au mieux, je donnerais tout, je ne me laisserais pas avoir par de vulgaires insectes !"

Je me lancais de nouveau dans une lutte pour la survie. La hache virevolta, des cris, des bruissements d'ailes et de terre battue, des éclats dorées, des bruits de chair meurtri, des plaintes déchirante, puis plus rien, le silence. Un silence pesant, lugubre et froid. Je me tenai, debout, au milieu de ce parterre sanglant. J'étais meurtri de partout.

Lorsque je fus dehors. Je pris une grande inspiration. Mon corps se mit a trembler. Je posai ma main sur mon font brûlant, essuyant le sang et la sueur de ce long et douloureux combat. Ma tête me tournait, je vacillais dangereusement. Je mis genou a terre, histoire de me reposer un moment.

"Mon coeur, te voilà, sain et sauf. J'ai fait aussi vite que je le pouvais."

Valen venait d'arriver et se jeta dans mes bras. Je fus pris de douleur dans tout mon corps mais je n'en fis rien savoir. J'étais heureux de la revoir et je ne voulais pas l'inquiéter outre-mesure.

"Tu vas au mieux ? Tu as retrouvé celui que tu cherchais ?"
- Non..Je..n'ai rien trouvé... dis-je en toussant.
- Alors retournons-y ensemble. Il ne pourra rien nous arriver désormais. Je veillerais sur toi et toi sur moi, me dit-elle dans un de ces sourires radieux.
- Bien...Allons-y..."

Je frémis a l'entrée du tunnel dont j'ai eu tant de mal à sortir. Mais l'appuie de ma bien-aimée m'aida a affronter cette épreuve. Je me souviens qu'avec elle tout fut plus facile et nous mîmes guère de temps a retrouver, non pas le gobelin, lui-même, mais son équipement, preuve tangible de sa disparition.

Une fois de nouveau dehors, je ne pouvais plus tenir debout. Mes yeux tournaient tout seul dans leur orbite. Je ne distinguai plus que des silhouettes. Mon coeur battait a tout rompre dans ma poitrine. Mes tempes se compressaient et ma tête allait exploser. Je voulus embrasser ma douce que je tombai a même le sol lourdement, sur le côté.

Gadgetzan, aujourd'hui

Oui je me souviens...Je suis donc tombé a cause de mes nombreuses piqûres...Mais que s'est-il passé ensuite ? C'est le trou noir..J'ai dû être inconscient jusqu'a mon retour ici. Je me souviens avoir entendu deux voix. Celle de ma Valen et celle de Dame Mallya. Oui c'était elle. Elles m'ont sauvées. Je leur dois la vie, je ne l'oublierais pas.

Mais il y a une chose qui me chagrine. Je me souviens, dans mon cauchemar de ténèbres, entre la vie et la mort, avoir été baigné dans une Lumière irradiante. Une Lumière protectrice, douce, suave. Comme si quelqu'un ou quelque chose me prenait sous son aile. Peut-être ais-je simplement rêvé...Ou peut-être pas.

Ma main n'a toujours pas quitter mon épaule, qui, aussi longtemps qu'a duré ma réminescence, n'a cessé de dégager une chaleure étrange. Ma marque serait-elle a l'origine de quelque chose ?

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